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y Hautes tensions : festival de cirque contemporain
     

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Parcours découverte : Les processus d’écriture dans les arts de la rue

Bordenave, Julie ; Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques ; Parc et Grande Halle de la Villette
Paris : HorsLesMurs, 2015

En 2006, dans le cadre du Temps des arts de la rue, le Ministère de la Culture, en partenariat avec la SACD, crée le dispositif Ecrire pour la rue, destiné à accompagner les « écritures originales pour l’espace public ». Quelles intentions habitent les auteurs qui se frottent à l’espace public ? Comment passe-t-on de l’idée à la conception ? Il s’agit souvent d’écritures contextuelles, qui nécessitent des temps de repérage pour adapter une proposition à un espace ; parfois des rencontres avec les habitants d’un territoire. Au-delà d’une écriture « à la table », c’est au contact du dehors et du public que se polissent les spectacles ; car ici plus qu’ailleurs, les créations se pensent avec lui, en se frottant à ses réactions, quand il ne s’agit pas de le solliciter directement dans des formes participatives, requérant le lâcher prise pour des expériences enchanteresses (Concert de sons de ville, Ici-Même [Grenoble]) ou anxiogènes (une battue la nuit en pleine forêt, avec Projet P de la compagnie La Tête Ailleurs; la traversée clandestine d’une frontière dans la remorque d’un camion bondé, avec Ticket du Collectif Bonheur Intérieur Brut…). Nous vous proposons de cerner quelques spécificités de l’écriture de rue, avec des artistes lauréats du dispositif ces dix dernières années : ceux qui ont fait le choix de raconter dehors, pour y faire résonner des mots à l’aune de la ville ; de transfigurer le réel, pour en faire matière à fiction ; ou encore de décrypter les usages, voire d’influer modestement sur eux. Dans tous les cas, des propositions participant à la sédimentation d’une mémoire collective. [présentation de l'auteur]
En 2006, dans le cadre du Temps des arts de la rue, le Ministère de la Culture, en partenariat avec la SACD, crée le dispositif Ecrire pour la rue, destiné à accompagner les « écritures originales pour l’espace public ». Quelles intentions habitent les auteurs qui se frottent à l’espace public ? Comment passe-t-on de l’idée à la conception ? Il s’agit souvent d’écritures contextuelles, qui nécessitent des temps de repérage pour adapter une ...

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Parcours découverte : La diversité des écritures circassiennes au regard de la programmation du festival Hautes Tensions à la Villette

Bordenave, Julie ; Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques ; Parc et Grande Halle de la Villette
Paris : HorsLesMurs, 2014

La Villette a noué une histoire fidèle avec les arts du cirque. Dès la fin des années 90, la structure s’engage en faveur d’une politique active de production et diffusion, et inaugure en 2002 l’Espace Périphérique, dédié à la résidence d’artiste. En sus des spectacles de nouveau cirque accueillis régulièrement dans sa Grande Halle ou son Espace Chapiteaux, la structure imagine dès le début des années 2000 des événements dédié aux formes circassiennes atypiques et expérimentales : Terres de Cirque (Johann Le Guillerm, Jörg Müller, Raphaël Navarro, Les Hommes Penchés…) ; Des auteurs, des cirques (MPTA, Circo Aereo…) ; les Pop’s (GdRA, Cridacompany…).

En 2011, la première édition du festival Hautes Tensions voit le jour : un focus sur des artistes singuliers, qui repoussent les limites du corps, à la croisée des disciplines, des esthétiques et des propos, reflétant la vitalité et la diversité des écritures circassiennes contemporaines. Formes collectives sous chapiteau (Galapiat, PréoCouPé…), ou solos sur le plateau (Phia Ménard, Angela Laurier…) ; exhumation de techniques oubliées (suspension par les cheveux, chez Capilotractées ; ventriloquie chez Jeanne Mordoj…), ou disparition du vocable circassien, à une époque où le cirque s’affranchit du divertissement familial (théâtre organique chez Jeanne Mordoj, anthropologique pour le GdRA ; distorsions de JB André, pièce instructive sur la faim de l’autre par Anomalie…). A la faveur d’un lent processus de maturation, encouragé par l’institutionnalisation, la structuration et la professionnalisation du domaine (CNAC, PNAR, JTCE…), les circassiens s’affirment auteurs ; maîtres d’une discipline, ils la mettent en jeu pour explorer ce que le cirque dit de la société, en solo ou à l’épreuve du collectif. [présentation de l'auteur]
La Villette a noué une histoire fidèle avec les arts du cirque. Dès la fin des années 90, la structure s’engage en faveur d’une politique active de production et diffusion, et inaugure en 2002 l’Espace Périphérique, dédié à la résidence d’artiste. En sus des spectacles de nouveau cirque accueillis régulièrement dans sa Grande Halle ou son Espace Chapiteaux, la structure imagine dès le début des années 2000 des événements dédié aux formes ...

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