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y Arts du cirque - Belgique

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C!RQ en Capitale n°20 : Sous le capot des compagnies

Bruxelles, octobre 2019


Cote : CIRQ-C-20

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C!RQ en Capitale n°14 : Femmes de cirque : une révolution à mains nues

Bruxelles, janvier 2018


Cote : CIRQ-C-14

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C!RQ en Capitale n°17 ; C!RQ en Capitale n°spécial : We are circus

Bruxelles, octobre 2018


Cote : CIRQ-C-17

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C!RQ en Capitale n°15 : En avant la musique

Bruxelles, avril 2018


Cote : CIRQ-C-15

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C!RQ en Capitale n°13 : Et après? : la reconversion en cirque

Bruxelles, octobre 2017


Cote : CIRQ-C-13

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C!RQ en Capitale n°11 : L'image du cirque

Bruxelles, avril 2017

Sur un roulement de tambour, le clown Pipo s’avance dans la lumière. Il foule la sciure de ses trop longues chaussures et se tient, mains sur les hanches, au milieu des rires des enfants. Soudain, de l’autre côté, dans la pénombre, arrive un homme, rampant tel un serpent sur une musique de Stockhausen. Il est jongleur mais n’a pas de balles, car il pratique le non-jonglage. Il se livre à des acrobaties microscopiques des muscles de son torse. Le clown et l’homme-serpent s’observent, puis entament un impressionnant bras de fer. L’enjeu ? Savoir lequel des deux détient la juste image du cirque aujourd’hui... [résumé de l'éditeur]
Sur un roulement de tambour, le clown Pipo s’avance dans la lumière. Il foule la sciure de ses trop longues chaussures et se tient, mains sur les hanches, au milieu des rires des enfants. Soudain, de l’autre côté, dans la pénombre, arrive un homme, rampant tel un serpent sur une musique de Stockhausen. Il est jongleur mais n’a pas de balles, car il pratique le non-jonglage. Il se livre à des acrobaties microscopiques des muscles de son torse. Le ...


Cote : CIRQ-C-11

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C!RQ en Capitale n°10 : Produire et diffuser

Bruxelles, janvier 2017

L’exercice de l’art, depuis la nuit des temps, exige deux ingrédients principaux : des idées et des moyens pour les réaliser. Si les peintures pariétales de Lascaux sont parvenues jusqu’à nous, c’est parce qu’un homme (ou une femme, dit-on aujourd’hui) a eu l’intuition de les exécuter, mais aussi parce qu’il – ou elle – est parvenu à réunir les moyens de le faire : des pigments, du bois brûlé, des pinceaux, des copains pour tenir l’échafaudage et la torche. On conçoit aisément combien il a fallu de sueur et de patience pour parvenir à réunir ces éléments, qui semblent a priori éloignés de la création mais, en fait, l’ont rendue possible. [résumé de l'éditeur]
L’exercice de l’art, depuis la nuit des temps, exige deux ingrédients principaux : des idées et des moyens pour les réaliser. Si les peintures pariétales de Lascaux sont parvenues jusqu’à nous, c’est parce qu’un homme (ou une femme, dit-on aujourd’hui) a eu l’intuition de les exécuter, mais aussi parce qu’il – ou elle – est parvenu à réunir les moyens de le faire : des pigments, du bois brûlé, des pinceaux, des copains pour tenir l’échafaudage ...


Cote : CIRQ-C-10

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C!RQ en Capitale n°9 : Capable autrement

Bruxelles, octobre 2016


Cote : CIRQ-C-9

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C!RQ en Capitale n°8 : Tous les agendas estivaux

Bruxelles, juillet 2016


Cote : CIRQ-C-8

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C!RQ en Capitale n°7 : Écrire pour le cirque

Bruxelles, avril 2016

Le théâtre est loin, très loin, d’avoir dit son dernier mot. Mais l’on sent bien qu’aujourd’hui, il ouvre grand ses portes pour se laisser « bâtardiser » par les autres arts, ceux-là qui en disent peut-être moins avec le verbe mais beaucoup avec le corps, le son et l’image. La danse, la performance, le film, la création sonore ou les arts du cirque viennent rappeler au théâtre que, depuis la nuit des temps, il se raconte par d’autres canaux que les mots. [résumé de l'éditeur]
Le théâtre est loin, très loin, d’avoir dit son dernier mot. Mais l’on sent bien qu’aujourd’hui, il ouvre grand ses portes pour se laisser « bâtardiser » par les autres arts, ceux-là qui en disent peut-être moins avec le verbe mais beaucoup avec le corps, le son et l’image. La danse, la performance, le film, la création sonore ou les arts du cirque viennent rappeler au théâtre que, depuis la nuit des temps, il se raconte par d’autres canaux que ...


Cote : CIRQ-C-7

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C!RQ en Capitale n°6 : Les nouvelles tribus du cirque

Bruxelles, janvier 2016

Depuis que l’être humain domine la nature et semble omnipotent sur notre planète, le résultat n’est pas toujours exaltant. Sur le bulletin scolaire de l’Homme, il serait sûrement écrit : « Peut mieux faire. Parfois quelques élans poétiques, mais globalement comportement désastreux ». Alors quoi ? On s’achète une île déserte, comme Guy Laliberté, et on attend que ça passe ? On baisse les bras ? On s’accuse mutuellement et on ne prend aucune responsabilité personnelle ? [résumé de l'éditeur]
Depuis que l’être humain domine la nature et semble omnipotent sur notre planète, le résultat n’est pas toujours exaltant. Sur le bulletin scolaire de l’Homme, il serait sûrement écrit : « Peut mieux faire. Parfois quelques élans poétiques, mais globalement comportement désastreux ». Alors quoi ? On s’achète une île déserte, comme Guy Laliberté, et on attend que ça passe ? On baisse les bras ? On s’accuse mutuellement et on ne prend aucune ...


Cote : CIRQ-C-6

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C!RQ en Capitale n°5 : Le corps à l'épreuve du cirque

Bruxelles, octobre 2015

Au cirque, ce sont les corps qui parlent. Et que disent-ils, dans leur tension spectaculaire ? Ils disent notre envie d’y arriver, de nous élever à la hauteur de nos rêves, de nous envoler. Ils disent nos impasses aussi, nos ratages, nos limites. Et l’inverse : no limit ! Ils disent l’étrange mélange de tout cela : la vie. Au cirque, le corps est une parole qui raconte un récit. « Un spectacle basé sur le corps et sa puissance, qui en plus propose des choses un peu bizarres, contemporaines, est accessible au plus grand nombre. Pourquoi ? Parce que tout le monde sait ce que c’est un travail physique. On reçoit les choses par d’autres canaux. L’exploit corporel est une clé qui réunit tout le monde autour d’une même tension », observe Claudio Stellato, rencontré dans les coulisses de « La cosa ». Cette capacité fédératrice, dans un monde qui en découd sans cesse avec sa tendance individualiste, pourrait s’avérer un trésor... [résumé de l'éditeur]
Au cirque, ce sont les corps qui parlent. Et que disent-ils, dans leur tension spectaculaire ? Ils disent notre envie d’y arriver, de nous élever à la hauteur de nos rêves, de nous envoler. Ils disent nos impasses aussi, nos ratages, nos limites. Et l’inverse : no limit ! Ils disent l’étrange mélange de tout cela : la vie. Au cirque, le corps est une parole qui raconte un récit. « Un spectacle basé sur le corps et sa puissance, qui en plus ...


Cote : CIRQ-C-5

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C!RQ en Capitale n°4 : Cet été, encirquez-vous

Bruxelles, juillet 2015

Depuis octobre dernier, « C!RQ en CAPITALE » veut rendre compte de l’incroyable vivacité des mille et un acteurs du cirque à Bruxelles. Rappelez-vous : le premier numéro soupesait le « boom » d’un art désormais incontournable, le deuxième plongeait dans la dimension sociale des pistes, le troisième se demandait comme on devient « circassien ». Cette fois, votre magazine a décidé de passer à la pratique : l’unique sujet, c’est vous. Quels spectacles pourriez-vous voir cet été à Bruxelles ? Quel stage choisir pour votre ribambelle ? A quel cours s’inscrire quand viendra la saison nouvelle ? Ceci est un numéro dont vous êtes le héros… [résumé de l'éditeur]
Depuis octobre dernier, « C!RQ en CAPITALE » veut rendre compte de l’incroyable vivacité des mille et un acteurs du cirque à Bruxelles. Rappelez-vous : le premier numéro soupesait le « boom » d’un art désormais incontournable, le deuxième plongeait dans la dimension sociale des pistes, le troisième se demandait comme on devient « circassien ». Cette fois, votre magazine a décidé de passer à la pratique : l’unique sujet, c’est vous. Quels ...


Cote : CIRQ-C-4

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C!RQ en Capitale n°3 : Plus tard, je serai...Circassien

Bruxelles, avril 2015

La vie fait souvent de nous des funambules. Comment ne pas éprouver un léger vertige entre le besoin de s’assurer que nos enfants seront heureux et les doutes sur l’avenir? Comment ne pas se sentir parfois en équilibre fragile, sur un fil tendu entre deux attitudes en apparence contradictoires – la peur et la confiance? Comment garder le cap?

En ce début d’année 2015, dans la tristesse du réel et l’envie d’un monde beaucoup plus doux, on a énormément parlé d’«éducation». Un mot qui faisait parfois vieux système, le verbe «éduquer» renvoyant davantage à la soumission à des règles qu’à l’apprentissage de la liberté. On s’est soudain souvenu qu’éduquer, c’est d’abord faire connaître, expliquer, ouvrir l’esprit, raconter, partager une expérience, apprendre à gérer nos différences, équiper pour
rendre possible la confrontation à l’inattendu, au nouveau, à l’autre. On s’est souvenu que l’éducation, c’est la capacité à l’écoute. C’est-à-dire l’opposé de la sauvagerie.

En janvier, le deuxième numéro de notre magazine partait à la découverte du «cirque social», cet incroyable espace de rencontre, où les corps ont la parole, où le geste invente de nouvelles passerelles entre les genres et les gens. Cette fois, c’est sur la route de l’enseignement que nous avons eu envie de vous emmener. Des maternelles à la formation continue, en passant par les primaires, les secondaires et les études supérieures, l’approche artistique du cirque s’inscrit aujourd’hui «officiellement» dans les apprentissages scolaires ou est en passe de l’être, comme le confirme notamment la volonté politique – signal encourageant. Le cirque, outil d’«éducation» dans notre capitale? Et comment! Les projets déjà existants convainquent largement (comme le «cirquétudes» en maternelles et en primaires, l’Esac pour les études supérieures). Et les projets qui rêvent de combler les «trous» (comme cette idée géniale d’«humanités cirque») sont portés par des acteurs circassiens convaincus. En deux décennies, le tremplin a bien changé pour celui qui rêve de devenir un artiste de cirque professionnel! Cette exploration démontre une fois encore la vivacité d’un secteur plein de potentiels. Décidément, quel que soit son terrain d’action (formation, enseignement, création de spectacle, diffusion,...), ce secteur a la conviction que le cirque peut aider (et aide déjà) à la connaissance de soi-même et des autres, au dépassement de ses propres limites et donc de ses œillères. C’est aussi le moteur de notre magazine: rendre compte de toutes les initiatives du cirque actuel à Bruxelles, parce qu’elles œuvrent finalement au même projet. Étonnamment, le manque de moyens ou de temps amène
souvent les acteurs de ce secteur à ne pas se (re)connaître suffisamment entre eux, alors que la collaboration semble évidente – vue d’ici en tout cas. Puissent nos pages soutenir aussi cette reconnaissance mutuelle, en tressant quelques fils où oser funambuler, même si le changement fait parfois trembler. [résumé de l'éditeur]
La vie fait souvent de nous des funambules. Comment ne pas éprouver un léger vertige entre le besoin de s’assurer que nos enfants seront heureux et les doutes sur l’avenir? Comment ne pas se sentir parfois en équilibre fragile, sur un fil tendu entre deux attitudes en apparence contradictoires – la peur et la confiance? Comment garder le cap?

En ce début d’année 2015, dans la tristesse du réel et l’envie d’un monde beaucoup plus doux, on a ...


Cote : CIRQ-C-3

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C!RQ en Capitale n°2 : Le cirque, corps social

Bruxelles, janvier 2015

L’art ne pourra pas changer le monde – rendre tout le monde heureux, enrayer l’exclusion, déraciner la logique du profit qui empoisonne le genre humain, remettre la balle dans le canon, stopper la haine qui camoufle la peur vertigineuse de vivre libre. Non, face à ce Goliath, l’art, avec sa petite fronde, semble bien dérisoire.

Ce deuxième numéro de « C!RQ en CAPITALE » propose de voir les choses dans l’autre sens. Et si, justement, dans l’intimité de nos cœurs, l’art permettait de cimenter nos bases, d’équiper nos consciences, de ne pas se sentir seuls, de faire groupe non pas pour gueuler, détruire ou souffrir, mais pour construire, rencontrer, parler, écouter, rire, pleurer, se disputer avec joie, ne pas être d’accord, aimer ? Et si l’art nous permettait de « vivre », enfin ?

Loin des notions de rentabilité, de commerce ou de consommation, on sent qu’une nouvelle conscience est agissante un peu partout sur Terre. Elle œuvre à différents niveaux : environnement, agriculture, échange de savoirs, entreprise coopérative. Elle n’est pas sûre d’elle, ni de ses modèles, mais elle est convaincue d’une chose : nous ne devons pas abandonner nos rêves à d’autres qui en décideraient pour leur béné8ce. En cirque aussi, ce mouvement existe. Il a dépassé la poignée de rêveurs pour atteindre une vraie communauté de bâtisseurs. Au quatre coins du monde, ce mouvement de « cirque social », né au milieu des années 80, travaille avec des personnes que la société – ou la situation géopolitique – exclut. Le résultat est bouleversant. « Au Brésil par exemple, nous travaillons avec des jeunes qui vivaient dans la rue. Ça prend du temps, mais ils se rouvrent comme des fleurs. Le cirque leur rend confiance en eux-mêmes et en l’autre, parce qu’il est collaboratif », explique Michel Lafortune, coordinateur du Cirque du Monde, le vaste programme social du Cirque du Soleil.

A Bruxelles, on parle près de 150 langues et on compte plus de 160 nationalités. La ville forme un patchwork culturel dont le discours le plus bruyant souligne plus volontiers les frottements que l’incroyable richesse. Ce trésor existe. Encore faut-il vouloir le trouver : il ne s’achète pas, il se construit. Nous sommes allés à la rencontre de quelques-uns de ces « bâtisseurs » pour qui les arts de la piste sont le levier vers une plus grande cohésion entre les habitants. Par le geste, l’appui ou le porté, le cirque crée du « lien », au sens propre. « C’est par son corps qu’on fait société », estime Eleftérios Kechagioglou, le directeur du Plus Petit Cirque du Monde (France), dans l’interview qu’il nous a accordée. De toute évidence, le cirque fait du bien au corps. Il pourrait également aider à bâtir et à assouplir le corps social. Et donc changer le monde, quand même, un peu ? [résumé de l'éditeur]
L’art ne pourra pas changer le monde – rendre tout le monde heureux, enrayer l’exclusion, déraciner la logique du profit qui empoisonne le genre humain, remettre la balle dans le canon, stopper la haine qui camoufle la peur vertigineuse de vivre libre. Non, face à ce Goliath, l’art, avec sa petite fronde, semble bien dérisoire.

Ce deuxième numéro de « C!RQ en CAPITALE » propose de voir les choses dans l’autre sens. Et si, justement, dans ...


Cote : CIRQ-C-2

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C!RQ en Capitale n°1 : Quand notre cirque fait...Boom

Bruxelles, octobre 2014

Les arts de la piste constituent aujourd’hui l’un des sec-teurs les plus innovateurs des arts de la scène. Plus question d’ignorer ce cirque qui s’invite partout : il s’inscrit dans vos agendas, pour une formation, un spectacle ou le stage de vos enfants. Il s’invite sur les scènes officielles, digne égal du théâtre et de la danse. Il s’intercale même aux feux rouges, jonglant le temps d’un instant !Et si on allait voir d’un peu plus près de quel bois se chauffe ce brasier hors du commun ? Bruxelles est au cœur d’un mouvement de plus en plus secouant, qui concerne autant les amateurs que les professionnels. La ville très polyglotte attire les artistes des quatre coins du monde et se mue peu à peu en « capitale de cirque ». Le « boom » d’une nouvelle génération ? C’est la première question que se pose ce nouveau magazine, qui a pour ambition de rendre compte des réalités d’un secteur qui mêle tous les terrains, les genres et les âges autour d’une même foi : le cirque, comme lieu du dépassement de soi. Il y a le tour de force bien sûr, la main qui jongle ou le muscle qui porte. Mais le cirque, à Bruxelles, c’est aussi le lieu du dépassement de l’individu, invité à rencontrer l’autre et à faire groupe. Un défi social. Le cirque, piste de l’audace la plus citoyenne ? Ce n’est pas d’hier que ça date. « Auprès de qui apprendre l’art de créer et de vivre dans l’audace ? Chez vous, messieurs du cirque » , écrivait déjà en 1917 le metteur en scène russe Vsevolod Meyerhold. Cent ans plus tard, si on cherchait à voir ensemble s’il a toujours raison ? [résumé de l'éditeur]
Les arts de la piste constituent aujourd’hui l’un des sec-teurs les plus innovateurs des arts de la scène. Plus question d’ignorer ce cirque qui s’invite partout : il s’inscrit dans vos agendas, pour une formation, un spectacle ou le stage de vos enfants. Il s’invite sur les scènes officielles, digne égal du théâtre et de la danse. Il s’intercale même aux feux rouges, jonglant le temps d’un instant !Et si on allait voir d’un peu plus près de ...


Cote : CIRQ-C-1

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ARTICLES DE PERIODIQUES

Belgique, Pays -Bas : Les artistes piaffent

Morant, Alix de
avril 2014


Cote : STR-31

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ARTICLES DE PERIODIQUES

Une ruche pour la création

Gilloire, Alice
juillet 2011

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PROGRAMMES DE SPECTACLES

Hopla! : la fête des ars du cirque de Bruxelles, 2011

Ville de Bruxelles
Bruxelles, [Belgique], 2011


Cote : HOP-2011

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DOSSIERS DOCUMENTAIRES

Circulons !

Le Prato
France, [2002]


Cote : EVEN-444-CIR

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